Tchingtchangtchong ?!?
Voilà la première chose à laquelle pensent les Français (oui, vous aussi avouez le !) lorsqu'ils s'imaginent parler des asiatiques, nos amis les Japonais n'y échappent pas bien entendu, vu que ce sont "tous des chinois" ...
Mais regardons de plus près la langue que je cotoie un petit peu lors de mes loisirs, et que je vais devoir employer pour ne pas mourir de faim/de froid/en prison/tué dans la rue.
Tout d'abord oralement : la langue Japonaise se différencie de la notre dans le sens où certaines prononciations n'existent tout simplement pas, d'où les accents désastreux que l'on peut rencontrer.Un exemple fort connu est le "l" et le "r" qui se prononcent de la même façon : un r roulé façon paysan.Mais il y a aussi le "b" et le "v", le "h" et le "f", et d'autres ... Donc déjà, pas tiptop pour parfaire sa prononciation.Cependant , il y a un autre bémol : en Japonais, les successions de consonnes n'existent pas.Chaque consomme doit être (oralement) suivie d'une voyelle, ce qui donne en prononciation très différente du mot en Français.Prenons par exemple le mot pratiquable, il sera prononcé pu-ra-ti-ka-bu-ru.Vous souriez, je vous vois, attendez de voir l'écrit.
C'est là que ça se complique : il existe plusieurs types d'écritures.
- Les Kanji , des dessins très compliqués qui veulent dire plusieurs mots à la fois, c'est au nombre de Kanji mémorisés qu'on évalue votre niveau en japonais (je dois en connaitre approximativement 4).Un exemple : 死 (shi) la mort.
- Les Hiragana , ou "écriture syllabaire Japonaise", qui permet de retranscrire les Kanji sans ambiguité.Chaque Hiragana représente une syllabe ou un voyelle, c'est un peu comme notre phonétique "a e i bu dé pa mo" etc...Et sa variante pour écrire les mots d'écriture étrangère, les Katakana , hé oui, rien que 2 alphabets phonetiques a apprendre !
- Le Romaji , le "plus facile", puisque c'est la retranscription du Japonais avec nos-lettres-à -nous-qu'au-moins-on-peut-lire.Que j'emploie le plus souvent on se demande pourquoi.
Au boulot, j'ai jusqu'au mois d'avril !
Au moins connaitre tout ça :
Mais regardons de plus près la langue que je cotoie un petit peu lors de mes loisirs, et que je vais devoir employer pour ne pas mourir de faim/de froid/en prison/tué dans la rue.
Tout d'abord oralement : la langue Japonaise se différencie de la notre dans le sens où certaines prononciations n'existent tout simplement pas, d'où les accents désastreux que l'on peut rencontrer.Un exemple fort connu est le "l" et le "r" qui se prononcent de la même façon : un r roulé façon paysan.Mais il y a aussi le "b" et le "v", le "h" et le "f", et d'autres ... Donc déjà, pas tiptop pour parfaire sa prononciation.Cependant , il y a un autre bémol : en Japonais, les successions de consonnes n'existent pas.Chaque consomme doit être (oralement) suivie d'une voyelle, ce qui donne en prononciation très différente du mot en Français.Prenons par exemple le mot pratiquable, il sera prononcé pu-ra-ti-ka-bu-ru.Vous souriez, je vous vois, attendez de voir l'écrit.
C'est là que ça se complique : il existe plusieurs types d'écritures.
- Les Kanji , des dessins très compliqués qui veulent dire plusieurs mots à la fois, c'est au nombre de Kanji mémorisés qu'on évalue votre niveau en japonais (je dois en connaitre approximativement 4).Un exemple : 死 (shi) la mort.
- Les Hiragana , ou "écriture syllabaire Japonaise", qui permet de retranscrire les Kanji sans ambiguité.Chaque Hiragana représente une syllabe ou un voyelle, c'est un peu comme notre phonétique "a e i bu dé pa mo" etc...Et sa variante pour écrire les mots d'écriture étrangère, les Katakana , hé oui, rien que 2 alphabets phonetiques a apprendre !
- Le Romaji , le "plus facile", puisque c'est la retranscription du Japonais avec nos-lettres-à -nous-qu'au-moins-on-peut-lire.Que j'emploie le plus souvent on se demande pourquoi.
Au boulot, j'ai jusqu'au mois d'avril !
Au moins connaitre tout ça :