Niewz
Salut là-dedans, ça fait un bail hein ?
Bon, pas grand chose à raconter, vu que je fais pas grand chose en ce moment.
S je fais tout d'un coup je vais devoir bosser après -_-".
Donc mercredi après la soirée, j'ai mis 2 heures a essayer d'envoyer un sms à Bernie et Yuki, et donc je croyais que c'étaient des mauvais numeros.Mais en fait non, c'est un peu plus chiant que ça : je ne peux envoyer de messages écrits qu'aux portables du même opérateur que moi.Pas de bol, les deux numéros sont chez quelqu'un d'autre, donc je dois me prendre par les couilles et oser appuyer sur les chiffres et attendre la sonnerie sans avoir une pulsation cardiaque de 250.
Je commence par Bernie parce que bon c'est plus simple, je le connais déjà et on parle français ...
Je tente le coup le mercredi vers 21h, ça répond pas (et il sait pas lire les appels en absence, son portable est en japonais).Du coup on passe à jeudi, 12h00, et là j'ai un cadavre au téléphone, bon ok t'étais sorti je rappelle.Je le rappelle quand sa tête est sortie de son cul, il me dit bin si t'as rien de prévu viens.Ni une ni deux je dis ok et c'est reparti pour Roppongi.
Donc on se ballade un peu et on récupère une boite de sushi/maki pour bouffer chez lui, sur la terasse de sa colocation.Et là je peux confirmer, désolé tout le monde, j'irai pas courir sur les murs pour bouffer ces machins.
Bon, la nuit tombe vite, on va se caler dans un bar jamaicain en attendant un autre français qui part mardi prochain.On parle un peu avec le serveur noir, je l'emboucane en lui parlant de toutes les drogues, les champignons, et l'effet sur les neurotransmetteurs (oui j'ai commencé sur du costaud l'apéro), du coup ça y est, Charles c'est mon collègue.
Ensuite très mauvaise idée de l'autre français : on va au Gaspanic, le pire club de merde de Roppongi, c'est crade, ya que des ricains complètement torchés qui traitent les petites bouffeuses d'étrangers comme des chiennasses, la musique est ignoble, c'est irrespirable, et si t'as pas un verre rempli à la main tu te fais virer.
Mais dans un coin je vois une petite qui me fais sentir moins seule, tête baissée, son verre à la main, elle à l'air aussi timide que moi.Sauf que comme d'hab je met 15 ans à me motiver pour aller lui demander si ça va, et en même temps Bernie me ramène un verre de je-sais-pas-quoi, le temps de lui dire je vais lui parler, haha ya plus personne.C'est l'histoire de ma vie ça, même plus ça m'attriste.
Donc on sort enfin de cet endroit de merde, un petit kebab dans un camion de turcs, pour la nostalgie marseillaise, et on va se caler au Tiptop, on bar super sympa tout rikiki, avec un bar au milieu entouré sur 360° d'un aquarium.Donc on arrive là en slalomant les noirs qui te prennent par le bras pour t'enquiller dans son bar à putes, et on se pose.
Comme on est déjà bien amochés, on essaie de choper les poissons dans l'aquarium, mais ils sont fluides ces petits monstres.Donc tournée de black russian, j'ai bien apprécié.
L'autre français se barre, il bosse demain.On reste avec Bernie dans un état qu'il semble atteindre tous les soirs, encore jaloux qu'avec plus que lui j'arrive pas à être bourré.
Sauf qu'il a détecté une japonaise très séduisante dans le bar, proche de la quarantaine mais très classe, et il décide d'attaquer.Sauf que je lui ai niqué son coup, à un moment je crois qu'il me fait signe alors je rapplique (et puis j'aime pas qu'on me laisse en plan merde !), et c'est moi qui récupère toute l'attention de la dame haha !
En rentrant il m'en voulait vraiment, mais les reproches d'un mec torché je m'en carre, de toute façon il lui aurait rien fait, elle arrêtait pas de parler de son chéri français et blabla et je sais dire "je t'aime" etcetc.
Et puis les femmes casées c'est pas mon genre, même si ça a l'air pour beaucoup de gens qu'une formalité (genre il baise tout , et l'autre qui vient de partir était là "ahh ma chérie en france" mais venait de se taper sa prof de japonais donc bon), j'ai un code d'honneur, ça peut paraitre con mais je préfère me regarder dans le miroir un peu plus longtemps qu'un poivrot sans respect pour les sentiments des autres.
Donc il est dans les 5h du mat, il s'endort comme un kéron sur son canapé, encore une fois je fais le grand frère, je lui dis de se caler dans son lit il bosse demain, il se rendort, bon allez je me casse je chope le 1er metro.
Hier je décide après 30 minutes de mal au bide rien que d'y penser de passer un coup de fil à Yuki.Mais pas sans préparation, je me chiais vraiment que j'ai inventé tous les scénarios possibles : elle se souvient plus de moi, elle est plus sur Tokyo, etc... donc j'ai fait des questions/réponses type sur un papier, ça m'a fait travailler mon japonais c'est bien.
Et donc, la vie de Valentin continue : le répondeur.Sauf que les répondeurs japonais sont super courts, et c'est une annonce générique, donc je sais même pas si c'est elle, et j'ai pas le temps de placer 3 phrases en bégayant que c'est fini.
Et là j'attend de recharger mes batteries de courage pour la rappeler, je doute qu'elle me rappelle sinon.
Pour ce soir je me tate, des soirées comme ça , c'est douloureux au niveau de l'arrière train (du porte-feuille), je vais essayer un autre quartier, et de nouveau en solo pour espérer faire de nouvelles rencontres, un peu plus matures (même si encore une fois j'étais le plus jeune et de loin).
Il faut forcer le destin, au boulot !
Bon, pas grand chose à raconter, vu que je fais pas grand chose en ce moment.
S je fais tout d'un coup je vais devoir bosser après -_-".
Donc mercredi après la soirée, j'ai mis 2 heures a essayer d'envoyer un sms à Bernie et Yuki, et donc je croyais que c'étaient des mauvais numeros.Mais en fait non, c'est un peu plus chiant que ça : je ne peux envoyer de messages écrits qu'aux portables du même opérateur que moi.Pas de bol, les deux numéros sont chez quelqu'un d'autre, donc je dois me prendre par les couilles et oser appuyer sur les chiffres et attendre la sonnerie sans avoir une pulsation cardiaque de 250.
Je commence par Bernie parce que bon c'est plus simple, je le connais déjà et on parle français ...
Je tente le coup le mercredi vers 21h, ça répond pas (et il sait pas lire les appels en absence, son portable est en japonais).Du coup on passe à jeudi, 12h00, et là j'ai un cadavre au téléphone, bon ok t'étais sorti je rappelle.Je le rappelle quand sa tête est sortie de son cul, il me dit bin si t'as rien de prévu viens.Ni une ni deux je dis ok et c'est reparti pour Roppongi.
Donc on se ballade un peu et on récupère une boite de sushi/maki pour bouffer chez lui, sur la terasse de sa colocation.Et là je peux confirmer, désolé tout le monde, j'irai pas courir sur les murs pour bouffer ces machins.
Bon, la nuit tombe vite, on va se caler dans un bar jamaicain en attendant un autre français qui part mardi prochain.On parle un peu avec le serveur noir, je l'emboucane en lui parlant de toutes les drogues, les champignons, et l'effet sur les neurotransmetteurs (oui j'ai commencé sur du costaud l'apéro), du coup ça y est, Charles c'est mon collègue.
Ensuite très mauvaise idée de l'autre français : on va au Gaspanic, le pire club de merde de Roppongi, c'est crade, ya que des ricains complètement torchés qui traitent les petites bouffeuses d'étrangers comme des chiennasses, la musique est ignoble, c'est irrespirable, et si t'as pas un verre rempli à la main tu te fais virer.
Mais dans un coin je vois une petite qui me fais sentir moins seule, tête baissée, son verre à la main, elle à l'air aussi timide que moi.Sauf que comme d'hab je met 15 ans à me motiver pour aller lui demander si ça va, et en même temps Bernie me ramène un verre de je-sais-pas-quoi, le temps de lui dire je vais lui parler, haha ya plus personne.C'est l'histoire de ma vie ça, même plus ça m'attriste.
Donc on sort enfin de cet endroit de merde, un petit kebab dans un camion de turcs, pour la nostalgie marseillaise, et on va se caler au Tiptop, on bar super sympa tout rikiki, avec un bar au milieu entouré sur 360° d'un aquarium.Donc on arrive là en slalomant les noirs qui te prennent par le bras pour t'enquiller dans son bar à putes, et on se pose.
Comme on est déjà bien amochés, on essaie de choper les poissons dans l'aquarium, mais ils sont fluides ces petits monstres.Donc tournée de black russian, j'ai bien apprécié.
L'autre français se barre, il bosse demain.On reste avec Bernie dans un état qu'il semble atteindre tous les soirs, encore jaloux qu'avec plus que lui j'arrive pas à être bourré.
Sauf qu'il a détecté une japonaise très séduisante dans le bar, proche de la quarantaine mais très classe, et il décide d'attaquer.Sauf que je lui ai niqué son coup, à un moment je crois qu'il me fait signe alors je rapplique (et puis j'aime pas qu'on me laisse en plan merde !), et c'est moi qui récupère toute l'attention de la dame haha !
En rentrant il m'en voulait vraiment, mais les reproches d'un mec torché je m'en carre, de toute façon il lui aurait rien fait, elle arrêtait pas de parler de son chéri français et blabla et je sais dire "je t'aime" etcetc.
Et puis les femmes casées c'est pas mon genre, même si ça a l'air pour beaucoup de gens qu'une formalité (genre il baise tout , et l'autre qui vient de partir était là "ahh ma chérie en france" mais venait de se taper sa prof de japonais donc bon), j'ai un code d'honneur, ça peut paraitre con mais je préfère me regarder dans le miroir un peu plus longtemps qu'un poivrot sans respect pour les sentiments des autres.
Donc il est dans les 5h du mat, il s'endort comme un kéron sur son canapé, encore une fois je fais le grand frère, je lui dis de se caler dans son lit il bosse demain, il se rendort, bon allez je me casse je chope le 1er metro.
Hier je décide après 30 minutes de mal au bide rien que d'y penser de passer un coup de fil à Yuki.Mais pas sans préparation, je me chiais vraiment que j'ai inventé tous les scénarios possibles : elle se souvient plus de moi, elle est plus sur Tokyo, etc... donc j'ai fait des questions/réponses type sur un papier, ça m'a fait travailler mon japonais c'est bien.
Et donc, la vie de Valentin continue : le répondeur.Sauf que les répondeurs japonais sont super courts, et c'est une annonce générique, donc je sais même pas si c'est elle, et j'ai pas le temps de placer 3 phrases en bégayant que c'est fini.
Et là j'attend de recharger mes batteries de courage pour la rappeler, je doute qu'elle me rappelle sinon.
Pour ce soir je me tate, des soirées comme ça , c'est douloureux au niveau de l'arrière train (du porte-feuille), je vais essayer un autre quartier, et de nouveau en solo pour espérer faire de nouvelles rencontres, un peu plus matures (même si encore une fois j'étais le plus jeune et de loin).
Il faut forcer le destin, au boulot !
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